Sans panache
*
À l’automne le fruit,
Tombé des nues marronnes
Se ramasse, se cueille, cuit,
À la casserole se donne…
Mais à ceux de la calomnie,
Mûris de lubies autochtones,
(Selon les lois de l’ânerie
Plus que celle de Newton),
Que la bouche pourvue
D’une langue trop pendue, lâche,
Crache sur le premier venu…
Des bogues sans panache…
Ne nous étonnons pas
Que l’affligé se fâche,
Et sous le coup de l’attentat,
Furieusement la lui arrache !
*
Pat le 31 octobre 2020
Le rimenaute 
Toutes les bogues sont pareilles, c’est la qualité de son fruit qui compte…
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Les bogues de marron piquent moins …
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C’est vrai.
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Tout ce que je dis est parole…de vent Gilles !
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🙂 Tramontane ? Sirocco ? Mistral ?
Autan(t)… en emporte le vent…
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Brise bis ou Brise-Bise !
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Tant que ce n’est pas Ouragan ! 🙂 Chuis fragile ces temps !
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Par les temps qui courent, il faut se méfier de tous les vents…sinon, tu attrapes le souffle court…
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Hi hihi ! La voix de la raison, une fois encore.
Cela dit, les news ne sont guère réjouissantes en terme de progression de la pandémie…
Prends grand grand soin de toi, cher Rimeur. Promis, hein ?!
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Ça dépend de la hauteur des rideaux hi hi h i!… Prends soin de toi aussi vue ta petite santé.
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Petite santé mais grand potentiel 🙂
Ciao !
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