Photo: inshootnude.wordpress.com
Actu-elle
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Puisqu’on ne peut changer que si peu sa nature,
Seulement se donner un cadre, une posture…
Que tous les vêtements, maquillage et coiffure,
Recouvrent d’excédent, De piètre mantelure…
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La matérialité dont de respirer libre
Elle ne voudrait priver la moindre de ses fibres…
Elle ôte, elle s’arrache…des épaules le faix
Des années de cravache, usée par ses effets…
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Pour ne garder sur elle en vertu des égards
Les plus révérenciels et pudiques regards
Sur sa beauté suprême (qu’elle destine à Robin)
Qu’une âme pure gemme : tout comme si de rien…
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Du corps qu’elle protège le cœur sur la main
Pour le seul qui s’agrège parfaitement au sien,
Aux vues et sus de com dessous le photogramme,
Dans son épithélium les désirs de la femme.
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Pat le 15/10/18
Oh, on dirait que tes lecteurs sont restés bouche bée… 😉
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ha ha! oui j’imagine…à cause de mes mots tu crois?
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