Un merveilleux poème qui en dit plus qu’il ne parait…de Tiphaine dans Livre et un regard, à lire absolument!
Le poète au matin, voulu s’entretenir,
Fixé dans son reflet, il ne savait que dire…
Il avait dans le cœur la campagne au repos,
Les émotions en fleurs lui soufflèrent l’autre mot.
Le poète écouta la mélodie des champs,
Le jardinier conta la fièvre du tourment.
Il avait dans son être, deux hommes aux mots semblables,
Qui parlaient en écho sans dire la même fable.
« J’ai du vert tige sous les pots, Pierre,
De la vole tige dans mon pré vert,
J’ai du thym gris, ton Christ, Aline,
Et le riz jaune dans l’aubépine.
Houx vert de peur, eau noire du monde,
En vie et cœur sur colle, ère sombre. »
Et moi mon bel ami…
« J’ai du vertige sous les paupières,
De la voltige dans mon Prévert,
J’ai le teint gris, ton cristalline,
Et l’heure ris jaune dans l’aube épine.
Ouvert de peur au noir du monde,
Envie écœure sur…
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Le rimenaute 
Beau jeu de mots
Tu es doué Pat
J aime te lire car tes associations de mots sont d une imagination pas possible
Très bel écrit encore
Douce soirée cher ami rimenaute
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C’est gentil Dany…mais celui-ci n’est pas de moi. J’aurais bien aimé…Il est de Tiphaine même si effectivement je m’y retrouve beaucoup…Vas voir son blog, ses mots sont d’une grande finesse. Bisou
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Joli Partage ! Belle découverte ! Merci 😊
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Tu partages toi-même tellement que ce n’est que juste retour des choses.
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Merci Pat! Grande fierté d’être sur le rimenaute !
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