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Vivaldi
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J’ai laissé les splendeurs
Du fil des saisons
L’horizon des couleurs
Étreindre ma maison
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Aux bras de ton violon…
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J’ai laissé les senteurs
Des jeunes floraisons
L’envahir de faveurs
Presser l’exhalaison
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Au nez de ton violon…
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J’ai laissé la chaleur
Embraser les tisons
Des étés intérieurs
Jusqu’à la pâmoison
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Aux tripes de ton violon…
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J’ai laissé le bonheur
Au temps des fenaisons
Adoucir les ardeurs
Entrer la fanaison…
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Au doigt de ton violon…
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Et j’ai laissé sans peur
Ton amour en toison
Me réchauffer l’humeur
À l’heure des oraisons
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Au cœur de ton violon…
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Que la vie au long pleure
J’accepte ses raisons
Mais que jamais ne meurt
La vie dans ton violon !
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Pat le 19 octobre 2014
Je suis sans voix… sans mots…
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J’ai un peu de retard sur l’évènement…mais le temps de laisser les mots mûrir et toi de les cueillir. Je suis content que tu les aies trouvés bons.
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Pat, dès que j’entends parler de violon… Tout de suite, ça me fait quelque chose ! J’ai beaucoup apprécié l’entremêlement de sonorités douces et de sonorités fortes de ce poèmes et tout cela mélangé donne une saveur harmonieuse aux mots.
Originale, cette idée de personnifier (d’humaniser, devrais-je dire) l’instrument de musique en lui accordant des organes vitaux.
Amical salut
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Ah oui? Que t’évoque le violon? si ce n’est pas indiscret?
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Le violon, ça m’évoque… Une violoniste ! Disons…. Une ancienne connaissance. 😦
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Ah!…Dans ce cas j’accorde (: à ton commentaire une bonne …note!
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Accrochée à ton violon je rêve d’une jolie chanson…Tu viens d’activer mon imagination! 🙂
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Chic! Raconte!
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Rires!
Tu sais que j’adore la musique… Je rêve de jours meilleurs …:-)
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Moi aussi…
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